À travers des docu­ments d’archives, des photo­gra­phies et des dessins, l’ex­po­si­tion “Alaïa avant Alaïa” analyse les années d’apprentissage, depuis les débuts du coutu­rier en herbe sur le point de quit­ter Tunis pour Paris dans les années 1950, jusqu’à l’éclosion du phéno­mène Alaïa à l’orée des années 1980. Article original