La mobi­li­sa­tion s’ac­croît alors que les défen­seurs du mili­tant ne lui donnent que quelques jours à vivre, à moins qu’il ne soit nourri de force, ce qui est consi­déré par le droit inter­na­tio­nal comme de la “torture” et même un “crime contre l’hu­ma­nité”. Article original