Ces scien­ti­fiques améri­cains et chinois ont combiné du gallium, un métal capable de fondre à seule­ment 29 degrés, et des nano­par­ti­cules magné­tiques permet­tant au robot de géné­rer de la chaleur. Leurs recherches pour­raient s’ap­pli­quer au domaine biomé­di­cal. Article original