C’est une ques­tion que nous nous sommes tous posée à un moment ou à un autre en tant que recru­teur ou mana­ger : pour­quoi n’embauchons-nous pas toujours les meilleurs candi­dats ? Après tout, cela ne devrait-il pas être le but ?

Malheureusement, ce n’est pas toujours aussi simple. Dans de nombreux cas, d’autres facteurs entrent en jeu et peuvent avoir une inci­dence sur le proces­sus déci­sion­nel d’une entre­prise. Ici, nous avons demandé aux recru­teurs d’ex­pli­quer certaines des raisons pour lesquelles le meilleur candi­dat n’ob­tient pas toujours le poste.

Nous allons voir dans cet article les raisons les plus courantes qui consti­tuent un obstacle pour recru­ter les meilleurs candidats.

1. Réseau et relations du candidat

Nous connais­sons tous le dicton : « Ce n’est pas ce que vous savez qui compte, c’est qui vous connaissez. »

Et lorsqu’il s’agit de recherche d’emploi, cet adage sonne parti­cu­liè­re­ment vrai. Demandez à n’im­porte quel recru­teur chevronné et il vous dira : un excellent CV et des quali­fi­ca­tions de premier ordre ne sont qu’une partie de l’équa­tion lors­qu’il s’agit de décro­cher l’emploi de vos rêves.

En fin de compte, c’est souvent qui vous connais­sez (et qui vous connaît) qui fera ou ruinera votre recherche d’emploi. Donc, si vous vous deman­dez pour­quoi vous n’avez pas obtenu l’emploi que vous souhai­tiez vrai­ment, même si vous aviez toutes les quali­fi­ca­tions requises, c’est peut-être parce que vous n’étiez pas en contact avec les bonnes personnes.

Cela ne veut pas dire que vous devez perdre espoir si vous n’avez pas beau­coup de rela­tions. De nombreux autres facteurs entrent en jeu en matière d’embauche, et il existe des moyens de vous rendre plus attrayant pour les employeurs, même si vous ne connais­sez personne dans le secteur. Mais il est impor­tant d’être conscient du rôle que jouent les rela­tions dans le proces­sus d’embauche, afin que vous puis­siez être stra­té­gique dans leur établissement.

2. Les préférences personnelles du responsable du recrutement

L’une des raisons les plus courantes pour lesquelles le meilleur candi­dat n’est pas toujours embau­ché tient aux préfé­rences person­nelles du respon­sable du recru­te­ment. Les respon­sables du recru­te­ment sont égale­ment des humains, et les humains sont souvent partiaux.

Par consé­quent, les recru­teurs préfé­re­ront, incons­ciem­ment, un candi­dat qui leur ressemble ou qui corres­pond à leurs idéaux subjec­tifs. Cela mène à ce qu’on appelle des biais cogni­tifs.

Étant donné que ces préju­gés sont incons­cients, il peut être diffi­cile de les éviter, et c’est quelque chose sur lequel les candi­dats n’ont pas beau­coup de contrôle. Mais si les entre­prises en sont conscientes, elles peuvent prendre des mesures pour en atté­nuer l’impact. C’est pour­quoi avoir plusieurs respon­sables du recru­te­ment impli­qués dans les entre­tiens est en réalité mieux pour vous que vous ne le pensez.

3. L’adéquation culturelle du candidat

Une autre raison pour laquelle le meilleur candi­dat pour­rait ne pas obte­nir le poste est son adéqua­tion culturelle.

Les entre­prises veulent embau­cher des candi­dats qui s’in­tègrent bien à leurs employés exis­tants et à la culture de l’en­tre­prise. Ainsi, même si un candi­dat est tech­ni­que­ment la meilleure personne pour le poste, il se peut qu’on ne lui propose pas le poste s’il est déter­miné qu’il ne convien­drait pas.

Les entre­prises prennent le temps de défi­nir clai­re­ment la culture souhai­tée et le type de candi­dats qui convien­drait. Cela contri­buera à garan­tir que toutes les personnes impli­quées dans le proces­sus d’embauche sont sur la même longueur d’onde et recherchent la même chose.

En tant que candi­dat, assu­rez-vous d’étu­dier la culture de l’en­tre­prise avant de postu­ler et deman­dez-vous s’il vous sera facile, diffi­cile ou impos­sible de vous y adap­ter. En tant que recru­teur, inter­ro­gez-vous sur la capa­cité de l’en­tre­prise à inté­grer une plus grande diver­sité de profiles et la plus-value que cela peut générer.

4. Se concentrer trop sur soi-même

Il y a de fortes chances que vous postu­liez pour une oppor­tu­nité spéci­fique parce qu’elle corres­pond parfai­te­ment à votre style de vie. Vous pour­rez peut-être emme­ner vos enfants à l’école ou les récu­pé­rer faci­le­ment, pour­suivre votre vie sociale le week-end ou à l’in­verse vous devrez aban­don­ner certaines activités.

Bien que ce soit une bonne chose pour vous, le respon­sable du recru­te­ment ne veut pas néces­sai­re­ment en entendre parler. Les recru­teurs se soucient davan­tage de votre adéqua­tion avec eux. L’accent devrait être davan­tage mis sur les raisons pour lesquelles vous êtes un bon candi­dat pour le poste, et non sur la façon dont le poste vous convient.

5. Poser des questions inappropriées

Il est toujours impor­tant de poser des ques­tions lors d’un entre­tien. Se rensei­gner sur des infor­ma­tions jugées inap­pro­priées peut sembler négatif.

Abstenez-vous par exemple de remettre en ques­tion ou d’in­sis­ter sur les éléments suivants :

  • La flexi­bi­lité au niveau des vacances ?
  • Où sera situé mon bureau ?
  • Quels sont les avan­tages du comité d’entreprise ?
  • Les horaires de travail sont-il négociables ?
  • Les indem­ni­tés et les rembour­se­ments de frais ?

Faire pres­sion pour obte­nir ce type d’in­for­ma­tions peut donner l’im­pres­sion que vous n’y êtes que pour une rému­né­ra­tion et des avan­tages sociaux. Si vous corres­pon­dez parfai­te­ment au poste, on vous propo­sera une offre dans laquelle des détails comme ceux-ci seront inclus. Tant que vous n’êtes pas retenu, il est préfé­rable d’at­tendre jusque-là pour en discuter.

6. Réalisations et résultats

Vous ne gardez peut-être pas trace de ce que vous avez fait au cours de vos derniers emplois, mais les patrons poten­tiels veulent savoir ce que vous avez fait aupa­ra­vant. Vos réali­sa­tions sont impor­tantes. Gardez-en une trace et indi­quez-les chacun sur votre CV.

Cependant, n’al­lez pas trop loin : il est possible d’avoir trop de bonnes choses à étaler. Lorsque votre CV regorge de réali­sa­tions, cela peut en réalité jouer contre vous.

Voici pour­quoi :

  1. Cela vous fait paraître surqua­li­fié : cela est parti­cu­liè­re­ment vrai si la majo­rité de vos réali­sa­tions proviennent de rôles anté­rieurs qui étaient à un niveau supé­rieur ou avec plus de respon­sa­bi­li­tés que le poste pour lequel vous postulez.
  2. Cela vous fait passer pour un « job hopper », une saute­relle : les employeurs peuvent se deman­der pour­quoi vous avez tant bougé et si vous reste­rez ou non sur le long terme.
  3. Cela donne l’im­pres­sion que vous vous vantez : un CV rempli de réali­sa­tions peut égale­ment paraître arro­gant ou égoïste. Les respon­sables du recru­te­ment veulent voir que vous êtes humble et capable de bien travailler avec les autres, donc trop de vantar­dise peut être décourageant.
  4. Cela peut donner l’im­pres­sion que vous êtes trop rigide : Si vos réali­sa­tions proviennent toutes d’un domaine ou d’un secteur parti­cu­lier, cela peut donner l’im­pres­sion d’être inflexible et peu disposé à vous diver­si­fier. Ce n’est pas l’im­pres­sion que vous voulez donner si vous espé­rez décro­cher un emploi dans un nouveau domaine.
  5. Cela peut donner l’im­pres­sion que vous êtes diffi­cile à satis­faire : Si vos réali­sa­tions proviennent toutes de rôles très diffé­rents de celui pour lequel vous postu­lez, cela peut vous donner l’air diffi­cile à satis­faire. Les employeurs peuvent se deman­der pour­quoi vous ne trou­vez pas un poste qui corres­pond mieux à vos compé­tences et à votre expérience.

Si votre CV regorge de réali­sa­tions, il est impor­tant de prendre du recul et d’éva­luer si cela aide réel­le­ment ou nuit à votre recherche d’emploi. Dans certains cas, moins c’est défi­ni­ti­ve­ment plus.

7. Vos employeurs précédents

Vous avez quitté votre dernier lieu de travail sur une mauvaise note ? Il existe plusieurs raisons poten­tielles pour lesquelles votre ancien employeur pour­rait être la raison pour laquelle vous n’êtes pas embauché.

Il se peut que votre ancien patron ne vous ait pas donné de bonnes réfé­rences ou que vos perfor­mances profes­sion­nelles dans votre ancienne entre­prise n’aient pas été excel­lentes. De plus, il est possible que votre secteur soit en pleine évolu­tion et que votre ancien employeur ne soit plus consi­déré comme un lieu de travail intéressant.

Quelle que soit la raison, il est impor­tant d’être honnête avec les employeurs poten­tiels au sujet de votre situa­tion profes­sion­nelle anté­rieure afin que vous puis­siez leur donner une image complète de votre expé­rience et de vos qualifications.

N’oubliez pas cela : les respon­sables du recru­te­ment s’ap­puient sur des réfé­rences profes­sion­nels (et rela­tion­nelles) pour les guider dans la bonne direc­tion lors du recrutement.

8. Se relire et se corriger

Assurez-vous que votre CV est profes­sion­nel et ne contient aucune faute de frappe. Même la plus petite erreur gram­ma­ti­cale ou l’utilisation acci­den­telle d’une lettre peut amener un employeur à choi­sir un autre candi­dat. Les employeurs consi­dé­re­ront votre CV comme peu profes­sion­nel et bâclé, et cela aura une mauvaise image sur votre souci du détail.

Une autre chose à garder à l’esprit est la longueur : lorsqu’il s’agit de CV, moins c’est souvent plus. Les employeurs veulent voir un docu­ment concis et facile à lire qui met en valeur vos quali­fi­ca­tions et votre expé­rience les plus perti­nentes. Si votre CV fait plus de deux pages, il est probable que les employeurs cesse­ront tout simple­ment de le lire.

Ne pas adap­ter votre CV est une autre erreur : les CV géné­riques sont un énorme frein pour les employeurs, car ils montrent que vous n’avez pas pris la peine d’adap­ter votre candi­da­ture à leur entre­prise. Si vous voulez vous assu­rer que votre CV se démarque, prenez le temps de l’adap­ter à chaque emploi pour lequel vous postulez.

Bien qu’il soit impor­tant de vous assu­rer que votre CV ait un aspect profes­sion­nel, vous ne voulez pas en faire trop avec la concep­tion. Tenez-vous-en à un format simple et utili­sez des polices faciles à lire afin que les employeurs puissent rapi­de­ment numé­ri­ser votre CV et trou­ver les infor­ma­tions qu’ils recherchent.

Par ailleurs, utili­sez des couleurs stan­dards et faci­le­ment impri­mables pour votre CV : il sera souvent repro­duit en noir et blanc. Et par exemple un jaune, un orange ou un bleu clair ne seront plus très visibles. Même chose si le CV est lu sur un écran réglé diffé­rem­ment du votre.

9. La lettre de motivation

Votre lettre de moti­va­tion est souvent l’une des premières choses qu’un employeur poten­tiel verra, il est donc impor­tant de faire bonne impres­sion. Certains recru­teurs lisent d’abord la lettre de moti­va­tion et ne liront pas le CV si elle ne leur convient pas. Mais d’autres feront l’in­verse : c’est imprévisible.

Malheureusement, de nombreux deman­deurs d’emploi quali­fiés ne consacrent pas suffi­sam­ment de temps et d’ef­forts à la rédac­tion de leurs lettres de moti­va­tion et finissent par être reje­tés. La lettre de moti­va­tion peut faire la diffé­rence entre deux candi­dats qui paraissent équivalents.

Il existe quelques erreurs courantes qui peuvent condam­ner une lettre de moti­va­tion, comme ne pas l’adap­ter à l’emploi spéci­fique ou ne pas four­nir suffi­sam­ment de détails sur vos quali­fi­ca­tions. Mais même si vous évitez ces pièges, il y a quand même quelques éléments qui peuvent rendre votre lettre de moti­va­tion peu intéressante.

L’un des problèmes les plus courants est l’utilisation d’un langage obso­lète et trop formel. Cela peut donner l’im­pres­sion que votre lettre de moti­va­tion ne fait que copier un modèle stan­dard, et cela ne fera rien pour vous distin­guer des autres candi­dats. Essayez plutôt d’uti­li­ser un langage plus natu­rel et engageant.

Un autre problème est d’in­clure trop d’in­for­ma­tions sur votre vie person­nelle ou vos loisirs. C’est bien de mention­ner quelques inté­rêts en dehors du travail, mais n’en­trez pas trop dans les détails. N’oubliez pas que votre lettre de moti­va­tion doit être axée sur vos quali­fi­ca­tions professionnelles.

Ne commet­tez pas l’erreur de paraître déses­péré ou néces­si­teux. Ayez confiance en vos capa­ci­tés et évitez les expres­sions telles que « Je serais recon­nais­sant d’avoir l’op­por­tu­nité de passer un entre­tien » ou « J’apprécierais votre considération ».

Cela risque de paraître trop obsé­quieux. Ces décla­ra­tions donnent l’impression que vous solli­ci­tez un service, et ce n’est pas l’impression que vous voulez donner. Au contraire, vous offrez vos services à l’entreprise.

10. Vos coordonnées comptent

Afin de décro­cher le poste que vous souhai­tez, vous devez vous démar­quer de la foule – personne ne saura que vous êtes le plus quali­fié si vous ne le montrez pas.

Si votre adresse e‑mail ou votre numéro de télé­phone ne sont pas profes­sion­nels, les employeurs poten­tiels pour­raient ne pas vous prendre au sérieux. Alors, qu’est-ce qui rend une méthode de contact non professionnelle ?

Voici quelques exemples :

  1. Une adresse e‑mail autre que votre nom et prénom. Cela inclut les adresses conte­nant des chiffres ou des symboles, ainsi que les surnoms fantai­sistes. Par exemple, « ragnarok1234 » ou « johnnymusclex ».
  2. Un numéro de télé­phone qui n’est pas un fixe ou un portable. Cela inclut les numé­ros VOIP (comme ceux de Skype ou Google Voice), ainsi que les numé­ros de télé­phone tempo­raires. Les employeurs veulent pouvoir vous joindre faci­le­ment, et ce type de numéro rend cela plus difficile.
  3. Une adresse e‑mail ou un numéro de télé­phone asso­cié à un service gratuit. Cela inclut les adresses Gmail, Yahoo et Hotmail, ainsi que les domaines de messa­ge­rie publics (comme .edu ou .gov). Ces types de comptes donnent l’impression que vous ne prenez pas votre carrière au sérieux.
  4. Une adresse e‑mail ou un numéro de télé­phone asso­cié à un compte de réseau social. Cela inclut les adresses ou les numé­ros liés à Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat, etc. Les employeurs peuvent y voir un signal d’alarme, car cela pour­rait indi­quer que vous n’êtes pas assez mature pour gérer un travail professionnel.
  5. Une signa­ture élec­tro­nique autre que votre nom et vos coor­don­nées. Cela inclut des cita­tions, des images ou d’autres infor­ma­tions inutiles. Restez simple : votre employeur poten­tiel veut simple­ment savoir comment vous contac­ter, pas lire un roman sur votre vie.

Si l’une de vos méthodes de contact entre dans l’une des caté­go­ries ci-dessus, il est temps d’effectuer un chan­ge­ment. Créer une adresse e‑mail et un numéro de télé­phone profes­sion­nels est simple et cela pour­rait faire toute la diffé­rence dans votre embauche ou non. Alors ne négli­gez-pas vos coor­don­nées, mettez-les à jour au plus vite !

De plus, ne commet­tez pas l’erreur de mettre les coor­don­nées de votre lieu de travail actuel comme moyen appro­prié pour vous contac­ter. Cela ne fera pas sérieux ou fera hési­ter à vous contacter.

11. Vous êtes surqualifié

Parfois, ceux qui sont surqua­li­fiés n’obtiendront pas le poste. L’une des raisons est que le candi­dat surqua­li­fié peut être moins suscep­tible de rester en poste pendant une longue période.

Le candi­dat surqua­li­fié peut égale­ment avoir des attentes sala­riales plus élevées, ce qui peut décou­ra­ger les employeurs. De plus, les candi­dats surqua­li­fiés peuvent tout simple­ment ne pas conve­nir au poste ou à la culture de l’entreprise.

Enfin, les recru­teurs peuvent craindre que les candi­dats surqua­li­fiés ne s’en­nuient du poste et se désen­gagent rapi­de­ment. Et le respon­sable N+1 pour ce poste risque de penser que vous allez prendre sa place ou perdre du temps à l’envisager.

Si vous êtes un candi­dat surqua­li­fié, il est impor­tant d’être conscient de ces préoc­cu­pa­tions poten­tielles et de les abor­der de front dans votre dossier de candidature.

12. Candidatures internes

Les candi­dats internes ont la préfé­rence sur les autres, même s’ils ne sont pas aussi quali­fiés. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les recru­teurs peuvent préfé­rer embau­cher des candi­dats internes plutôt que des candi­dats externes :

  • Les candi­dats internes ont déjà une bonne compré­hen­sion de la culture et des valeurs de l’entreprise.
  • Ils ont tendance à mieux connaître les systèmes et les proces­sus de l’entreprise.
  • Les candi­dats internes peuvent avoir déjà établi des rela­tions avec d’autres employés, ce qui peut faci­li­ter la tran­si­tion vers un nouveau rôle.
  • Étant donné que les candi­dats internes connaissent déjà l’entreprise, ils peuvent être en mesure de se lancer plus rapi­de­ment que les candi­dats externes.

En fin de compte, les raisons pour lesquelles chaque entre­prise préfère les candi­dats internes varient, mais celles-ci sont parmi les plus courantes. Il peut aussi arri­ver que l’employeur cherche à élar­gir le vivier et les compé­tences de l’en­tre­prise en visant au contraire des candi­dats externes.

En conclusion

S’il est vrai que certaines entre­prises n’embauchent pas toujours les meilleurs candi­dats, il existe plusieurs raisons pour lesquelles cela peut être le cas. Du manque de talents dispo­nibles à l’inadéquation des compé­tences, divers facteurs peuvent empê­cher même les candi­dats les plus quali­fiés d’obtenir le poste.

En fin de compte, il est impor­tant de se rappe­ler que le proces­sus d’embauche est loin d’être parfait. Mais en compre­nant les raisons pour lesquelles les meilleurs candi­dats n’ob­tiennent pas toujours le poste, vous pouvez augmen­ter vos chances de décro­cher le poste de vos rêves.

Fabien Perez